Référendum pour sortir du nucléaire : Des personnalités s’engagent aux côtés de 26.000 citoyennes et citoyens !

Communiqués de presse

Paris, le 03 mai 2011 : Alors que le chef de l’Etat tente de répondre maladroitement à la catastrophe nucléaire de Fukushima en annonçant une énième Grenelle qui cache mal sa volonté de sauver le soldat « nucléaire », l’association Agir pour l’Environnement va remettre au Président de la République plus de 26.000 signatures de citoyennes et citoyens ayant signé une pétition en faveur d’un référendum pour la sortie du nucléaire.

Comble de l’indécence, le chef de l’Etat ne manque aucune occasion pour vanter les mérites supposés d’un nucléaire à la française, quitte à recourir à la caricature afin de clore un débat pourtant nécessaire.


Associés à ces 26.000 signatures, un certain nombre de personnalités / représentants ont tenu à apporter leur soutien à cette demande comme :

  • Danièle Mitterrand,
  • Nicolas Hulot,
  • Patrick Viveret, philosophe,
  • Corine Lepage, députée européenne et ancienne ministre,
  • Yves Cochet, député de Paris et ancien ministre,
  • Dominique Voynet, sénatrice de Seine Saint Denis et ancienne ministre,
  • José Bové, député européen,
  • Martine Billard, députée de Paris,
  • Jean-Paul Besset, député européen,
  • Denis Baupin, adjoint au maire de Paris,
  • Michèle Rivasi, députée européenne,
  • Philippe Meirieu, vice-président de la région Rhône-Alpes,
  • Anne Le Strat, adjointe au maire de Paris,
  • Jean-Vincent Placé, vice-président de la région Ile-de-France,
  • Emmanuelle Cosse, vice-présidente de la région Ile-de-France,
  • Emmanuel Poilane, directeur de la Fondation France Liberté,
  • François Veillerette, porte-parole de Générations futures,
  • Stéphen Kerckhove, délégué général d'Agir pour l'Environnement,
  • Charlotte Nenner, présidente de l'association Résistance à l'Agression Publicitaire…

L’entêtement dont fait preuve le chef de l’Etat à l’égard du nucléaire relève de l’irrationalité la plus absolue. Un peu plus d’un mois après la catastrophe nucléaire de Fukushima, seule la France poursuit son cavalier seul en matière nucléaire.

Prisonnier d’une technologie qu’il n’a pas choisie, le peuple français ne doit plus être condamné à assister passivement à la multiplication de catastrophes sans envisager d’options alternatives.

L’association s’engagera durant toute la campagne présidentielle afin que le nucléaire ne soit pas UN sujet mais LE sujet au cœur de la future campagne électorale.