Bandeau Campagnes

Face à l'urgence de sauver les insectes pollinisateurs, Agir pour l'environnement propose de créer des espaces fleuris source de biodiversité, en semant des graines nectarifères spécialement sélectionnées pour créer des Zones de Bzzz.

Disséminons 25 millions de graines de résistance !

Le gouvernement éclipse l’énergie solaire

Nos campagnes

Nos actions

Nos actualités

Qui sommes-nous

Espace presse

Contact

Emploi / stages

Bénévolat

<h2>Un montage flou&hellip; mais d&eacute;j&agrave; tr&egrave;s co&ucirc;teux pour l&rsquo;&Eacute;tat</h2>
Selon les &eacute;l&eacute;ments d&eacute;voil&eacute;s par Bercy et l&rsquo;&Eacute;lys&eacute;e, l&rsquo;&Eacute;tat accorderait un pr&ecirc;t &agrave; taux z&eacute;ro &agrave; EDF pour lancer la construction, ce qui repr&eacute;sente d&rsquo;ores et d&eacute;j&agrave; une forme de soutien massif. &Agrave; cela s&rsquo;ajouteraient des financements via la Caisse des d&eacute;p&ocirc;ts, bonifi&eacute;s par le Tr&eacute;sor public. En clair : l&rsquo;&Eacute;tat - donc l&rsquo;argent public - paierait une bonne partie de la facture d&egrave;s le d&eacute;part.
Le reste serait financ&eacute; par EDF via les march&eacute;s financiers, mais l&agrave; encore, l&rsquo;entreprise publique tente de limiter son exposition. Lors d&rsquo;une audition au S&eacute;nat, le PDG d&rsquo;EDF, Luc R&eacute;mont, a r&eacute;clam&eacute; que la part financ&eacute;e par l&rsquo;&Eacute;tat passe de 55 % &agrave; un niveau proche des standards europ&eacute;ens, c&rsquo;est-&agrave;-dire&nbsp;75 %, pour &eacute;viter &agrave; EDF de trop s&rsquo;endetter.
<h2>Les le&ccedil;ons de Flamanville ignor&eacute;es ?</h2>
Ce montage intervient alors m&ecirc;me que le fiasco du chantier EPR de Flamanville devrait inciter &agrave; la plus grande prudence. Lanc&eacute; en 2007 pour un co&ucirc;t initial de 3,4 milliards d&rsquo;euros, il d&eacute;passe aujourd&rsquo;hui plus&nbsp;de&nbsp;20 milliards, avec plus de&nbsp;dix ans de retard.
Et qui paiera les d&eacute;passements cette fois ? Le gouvernement a d&eacute;j&agrave; act&eacute; que les 15 premiers milliards d&rsquo;euros de surco&ucirc;ts seraient enti&egrave;rement &agrave; la charge d&rsquo;EDF, mais qu&rsquo;au-del&agrave;&hellip; l&rsquo;&Eacute;tat interviendrait. Traduction :&nbsp;les contribuables couvriront les d&eacute;rapages in&eacute;vitables d&rsquo;un programme d&eacute;j&agrave; mal engag&eacute;.
<h2>Une strat&eacute;gie &agrave; rebours des enjeux climatiques et d&eacute;mocratiques</h2>
Les six r&eacute;acteurs EPR2 se placent dans la continuit&eacute; de l'EPR de Flamanville.
<ul>
<li>En juillet 2020, la Cour des comptes a estim&eacute; leur co&ucirc;t &agrave; 46 milliards d&rsquo;euros.</li>
<li>En septembre 2020, la direction du Tr&eacute;sor l&rsquo;&eacute;value &agrave; 47,1 milliards.</li>
<li>En 2022, lors du d&eacute;bat public, EDF estime le co&ucirc;t de trois paires d&rsquo;EPR &agrave; 51,7 milliards.</li>
<li>Le 4 mars 2024, EDF annonce dans les Echos que les six EPR2 co&ucirc;teront finalement 67,4 milliards d'euros !</li>
</ul>
En moins de 4 ans, le devis a d&eacute;j&agrave; augment&eacute; de 21,4 milliards d&rsquo;euros et nous n&rsquo;en sommes qu&rsquo;&agrave; l&rsquo;&eacute;tape de la finalisation du design et non la construction elle-m&ecirc;me. 
Plut&ocirc;t que de financer massivement les &eacute;nergies renouvelables, cr&eacute;atrices d&rsquo;emplois locaux et rapidement d&eacute;ployables, le gouvernement pr&eacute;f&egrave;re signer un ch&egrave;que en blanc &agrave; EDF, tout en faisant peser les risques sur les finances publiques, sans consultation ni transparence.

Nucléaire : l’État prépare un chèque en blanc à EDF… avec l’argent du contribuable

<a href="https://partage.agirpourlenvironnement.org/s/sondage-bva-les-francais-face-aux-propositions-de-loi-liees-a-lenvironnement/?utm_source=brevo&amp;utm_campaign=CP%20-%20Opposition%20NNI&amp;utm_medium=email" target="_blank" rel="noopener">Dans un sondage exclusif BVA command&eacute; par Agir pour l&rsquo;environnement</a>, 69 % des personnes interrog&eacute;es expriment leur opposition &agrave; la r&eacute;autorisation des n&eacute;onicotino&iuml;des. Seules 16 % des personnes interrog&eacute;es se d&eacute;clarent tr&egrave;s favorables (4 %) ou plut&ocirc;t favorables (12 %) au retour des insecticides &laquo; tueurs d&rsquo;abeilles &raquo;.
Il est &agrave; noter que l&rsquo;opposition &agrave; cette famille de pesticides est la plus forte chez les &eacute;lecteurs &eacute;cologistes (83,4 %), centristes (81,4 %), macronistes (80,5 %), insoumis (79,7 %) et socialistes (75,2 %), tout en demeurant largement majoritaires chez les autres formations politiques. M&ecirc;me les R&eacute;publicains (64,2 %) et les &eacute;lecteurs du Rassemblement national (61,5 %) expriment leur hostilit&eacute; &agrave; l&rsquo;&eacute;gard de cette nouvelle r&eacute;gression &eacute;cologique.
Pour Agir pour l&rsquo;environnement, les d&eacute;put&eacute;s doivent s&rsquo;&eacute;manciper de l&rsquo;influence toxique du lobby de l&rsquo;agrochimie. Agir pour l&rsquo;environnement appelle les parlementaires &agrave; s&rsquo;opposer fermement &agrave; cette proposition de loi Duplomb, qui repr&eacute;sente un concentr&eacute; trumpiste d&rsquo;antiscience m&ecirc;l&eacute; d&rsquo;un rejet obsessionnel de tout ce qui peut, de pr&egrave;s ou de loin, repr&eacute;senter une avanc&eacute;e &eacute;cologique.
En opposant &laquo; agriculture &raquo; et &laquo; environnement &raquo;, la proposition de loi Duplomb est un texte r&eacute;trograde et d&eacute;magogique qui ne peut que conduire le monde agricole dans une impasse &eacute;conomique, sociale, agronomique et &eacute;cologique.
<hr>
<h2>Contacts presse</h2>
<ul>
<li>St&eacute;phen KERCKHOVE I Directeur g&eacute;n&eacute;ral d'Agir pour l'environnement</li>
<li>Jacques CAPLAT I&nbsp;Coordinateur des campagnes agriculture et alimentation chez Agir pour l'environnement</li>
</ul>

Sondage exclusif BVA : 69 % des personnes interrogées opposées au retour des insecticides « tueurs d’abeilles »

A l’heure où les appels au civisme se multiplient afin de gérer maladroitement les conséquences des errements d’une politique énergétique dogmatique ayant fait la part belle au nucléaire et au chauffage électrique, les citoyens sont appelés à faire pression sur les candidats à l’élection présidentielle afin que ces derniers osent le changement.Les appels au civisme n’ont de sens que s’ils sont accompagnés d’actes politiques forts modifiant en profondeur les causes du problème. Or, il apparaît de plus en plus évident que le lobby nucléaire cherche surtout à détourner l’attention du grand public en reportant la responsabilité d’un éventuel black-out sur ce citoyen « irresponsable » de vouloir se chauffer avec le convecteur électrique qu’on lui a imposé depuis 40 ans.Or, l’irresponsabilité est du côté de ceux qui ont promu le chauffage électrique et développé le nucléaire. Elle est du côté de ceux qui, pour poursuivre leur gaspillage, appellent les citoyens à faire des efforts.La sobriété et l’efficacité énergétique sont une nécessité. Mais pour que cet effort soit accepté, encore faut-il que les gaspilleurs ne se sentent plus exonérés de tout effort.Onze mois, jour pour jour après le drame de Fukushima, douze associations&#160; organisent l’action « Cinq minutes contre le nucléaire » qui aura lieu pour la première fois samedi 11 février 2012 de 19h55 à 20h. Plus de 6000 personnes se sont déjà engagées à participer à cette action sur le site <a title="&quot;Cinq minutes contre le nucléaire&quot;" href="http://www.cinqminutescontrelenucleaire.fr">www.cinqminutescontrelenucleaire.fr</a>.Cette opération est appelée à se renouveler trois autres fois durant la campagne présidentielle, le 11 mars (date anniversaire du drame de Fukushima), le 26 avril (date anniversaire du drame de Tchernobyl) et le vendredi 04 mai (soit deux jours avant le second tour de l’élection présidentielle).

« Cinq minutes contre le nucléaire » : J-1

Alors que l’Autorité de Sureté Nucléaire estime que pour assurer un semblant de sécurité de cette centrale vieille de plus de trente ans, il faudrait couler une dalle de béton de plusieurs mètres d’épaisseur sous le réacteur, entraînant un coût potentiel abyssal, le chef de l’Etat-candidat opte pour la fuite en avant… Avant la fuite radioactive ?Après une semaine durant laquelle le lobby nucléaire n’a eu de cesse d’appeler au civisme des français pour éviter un crash électrique, alors que le couple infernal « nucléaire/chauffage électrique » amène notre pays à subir des pics de consommation toujours plus nombreux et toujours plus marqués, le chef de l’Etat semble se satisfaire d’une politique énergétique dogmatique qui mène la France à l’échec.La France mérite mieux qu’une accumulation de caricatures dont l’ambition est d’occulter l’heure du bilan. L’Allemagne, qui semble être devenue LE modèle, LA source d’inspiration du chef de l’Etat, a fait le choix d’une sortie du nucléaire. Le président saura-t-il, en venant à la frontière allemande, s’inspirer de ce qui fait le succès de l’industrie allemande et humer l’air des ENR ?Pour Agir pour l’Environnement, la semaine écoulée doit nous faire prendre conscience que la sobriété et l’efficacité énergétique doivent être la pierre angulaire d’une nouvelle donne énergétique. Après la semaine que nous venons de vivre, se satisfaire, comme le fait le candidat de l’UMP pour attirer les voix des salariés d’une centrale nucléaire amenée à être fermée, relève d’une cécité politique qui n’a d’égale que la propension du chef de l’Etat au clientélisme.Douze associations nationales appellent les citoyens à participer massivement à <a title="Cinq minutes contre le nucléaire" href="http://www.cinqminutescontrelenucleaire.fr">l’action « Cinq minutes contre le nucléaire »</a>, samedi 11 février 2011, de 19h55 à 20h afin d’introduire, dans la campagne présidentielle, une dose de rationalité énergétique. Par cette action, ces associations appellent la France à prendre le chemin d’une transition énergétique qui doit faire la part belle à la sobriété et à l’efficacité énergétique et au développement des énergies renouvelables.

Sarkozy à Fessenheim : L’énergie (nucléaire) du désespoir !

C’est ainsi que le 
secteur publicitaire ne se sent absolument pas concerner par les appels au 
civisme consistant à réduire sa consommation électrique puisque la totalité des panneaux publicitaires (retro-éclairés, 
enseignes lumineuses et panneaux vidéos) continuent à gaspiller l’énergie à 
l’heure où celle-ci est rare et chère. Rien que sur la région parisienne, 
l’association estime que le gaspillage électrique induit par ces panneaux, 
équivaut à la consommation électrique de plus de 100.000 personnes. Chaque 
panneau retro-éclairé consomme l’équivalant électrique de trois familles de 
quatre personnes.&#160;Or, ce secteur n’est malheureusement pas le seul à ne 
pas se sentir concerner par les appels au civisme. Les pelouses d’un certain 
nombre de stades sont, à l’heure actuelle, chauffées toute la semaine afin 
d’assurer un spectacle de 90 minutes, les tours de bureaux restent éclairer nuit 
et jour… Les exemples de gaspillage et d’incivisme sont légions et laissent 
supposer qu’il n’y aurait pas urgence à agir.&#160;Pour Stéphen Kerckhove, 
délégué général d’Agir pour l’Environnement, « Quand le Réseau de Transport de 
l’Electricité appelle au civisme, certains semblent entendre "cynisme". Il est 
grand temps d’imposer par la loi des interdictions ciblées visant à éradiquer le 
gaspillage énergétique institutionnalisé. »&#160;Ces contre-exemples sont 
inacceptables. L’association appelle les élus locaux à adopter des arrêtés 
visant à interdire les dispositifs publicitaires énergétivores.

Pic de consommation électrique : Civisme pour les uns… cynisme pour les autres ?

Paris, le 02 février 2012 : Douze associations nationales[1] appellent les citoyens à participer massivement à l’action <a href="http://www.cinqminutescontrelenucleaire.fr">« Cinq minutes contre le nucléaire »</a> qui aura lieu, de 19h55 à 20h, le samedi 11 février 2012, puis le 11 mars, 26 avril et 04 mai 2012. Cette action consiste à éteindre les lumières et appareils électriques durant cinq minutes afin de peser sur les candidats à l’élection présidentielle. L’avenir énergétique de la France ne doit pas être confisqué et mérite mieux qu’une somme de caricatures ridicules.Alors que la Cour des Comptes reconnaît que le coût du nucléaire demeure incertain, que l’hiver vient rappeler l’extrême faillibilité du système électrique hexagonal, que Fukushima aurait du modifier en profondeur la donne énergétique française, plus que jamais les citoyens doivent faire entendre leur voix.Cette action nationale a pour but de commémorer les catastrophes de Fukushima et Tchernobyl et de protester contre la politique énergétique de l'Etat français qui n'a de cesse de soutenir encore et toujours le nucléaire aussi coûteux qu’inefficace.Après la catastrophe de Fukushima, la France doit abandonner le nucléaire. La campagne présidentielle doit être l'occasion d'engager notre pays sur la voie d'une transition énergétique pleinement assumée faisant la part belle aux énergies renouvelables, à la la sobriété et l’efficacité énergétique.&#160;Les citoyens sont appelés à laisser leurs coordonnées sur le site <a href="http://www.cinqminutescontrelenucleaire.fr">www.cinqminutescontrelenucleaire.fr</a> afin de recevoir, par courriel et sms, quelques heures avant l’action, une information à rediffuser pour amplifier la mobilisation.

L'action « Cinq minutes contre le nucléaire » aura lieu le samedi 11 février 2012 de 19h55 à 20h

Le couple infernal « chauffage électrique/nucléaire » solidarise la consommation électrique avec la courbe des températures. Ceci ayant pour conséquence d’engendrer des pics de consommation nombreux dont l’amplitude est sans commune mesure avec ce que connaissent nos voisins européens.A titre de comparaison, la pointe de consommation électrique est, en France, de 96 GW alors qu’elle n’est que de 80 GW en Allemagne pour une population de 17 millions d’habitants en plus. Économiquement, cette situation a pour conséquence l’obligation de développer des capacités de pointe et un réseau électrique totalement surdimensionné et ne fonctionnant que quelques jours par an.En période de grand froid, la supposée « indépendance énergétique » de la France est mise à mal puisque notre pays est dans l’obligation d’importer massivement du courant d’Allemagne, de Suisse et d’Italie. Le risque de coupure n’est donc que la conséquence de choix énergétiques irrationnels faisant la part belle au nucléaire et au chauffage électrique censé écouler le surplus d’électricité produite…La transition énergétique passe désormais par une interdiction ciblée du chauffage électrique pour les constructions neuves, inefficace énergétiquement et coûteux pour l’usager et par son remplacement progressif pour les bâtiments anciens.

Pointe de consommation électrique : Un mal français dû au chauffage électrique !

Avant le rapport de la cour des comptes, tout le monde savait que le démantèlement des réacteurs, leurs maintenances, la gestion éternelle des déchets radioactifs avaient un coût certain. Après la remise du rapport de la Cour des comptes, nous savons que nous ne savons rien, si ce n’est que ce « rien » sera cher.Le rapport de la Cour des Comptes nous apprend néanmoins que sur la dernière décennie, certains coûts ont été multipliés par deux. L’enfouissement des déchets est ainsi passé de 14,7 milliards d’euros à 28,4 milliards ! De même le démantèlement des réacteurs est estimé à 18,4 milliards d’euros, soit 300 millions d’euros par réacteurs. La Grande-Bretagne a provisionné, pour démanteler 18 réacteurs… 103 milliards, soit 15 fois plus !Il est peu de dire que le coût du nucléaire est incertain. Mais c’est une incertitude qui se situe dans la fourchette haute, très haute.

Réaction presse au rapport de la Cour des Comptes sur le coût du nucléaire

Communiqués de presse